Les objets n’existent pas. Les choses, notre découage du monde en objet, et rus, en maisons, en atrbres, est purement humain Ces choses n’ont pas d’existence en dehors de nos. NousLe mpndde est continu, simpleent un flot de étendu dans tout l’espace, parcouru de vagues . Tout le reste qn’est qu’une série d’interprétation, empilées les unes sur les autres, interdépendantes. Non pas que la réalité ne soit pas table, concrète ou indépendante de notre poi indépendante de notre volonté. (elle dépend légèrement de notre point de vue, à cf la mécanique quantique, mais ce n’est pas tout à fait la même chose, selon moi, et n’est pas pertinent ici.)
L’interprétation fondamentale est la discrétisation. Il est possible que le réel recèle du discret,il appartient au physicien de trancher celà. Toutefois la m majorité des péhnormènes que nous observons sont coninues, et nous les découpons pour en faire des objets discrets;
Lachons une gouette d’encre dans l’eau : à mesure qu’elle se dilue, nous pouvons de moins en moins la distinguer. y a til un moment ou la goutte cesse d’être go une et devient une partie du liquide ? Non, elle c monde ne fonctionne pas ainsi. (et là la MQ est de mon coté) Goutte et eau sont en permanence un mil un seul être n contunuy. La brusquerie spatiale de leur interface , ce gradient intense, ce changement de milieu soudain, ne veut pas dire qu’elle ne sont pas un. De l’eau salée n’est pas, localement autour des cristaux de sels dilués, autre chose que de l’eau.
Les mots sont notre principale outils pour discretuser ke libyen ke déciyoer?
Lees vietnamiens ont un miot pour dire ” amour parental” et un autre pour designer l’amour conjugal. Le français n’en a pas, et on considère donc habituellement quil s’agit du même sentiment, appliqué à d’autres personnes. En vérité les deux n’ont ni raison ni tort (sans doute) , car ces deux amours nesont un tout continu.
Pourquoi les distinguer ? Pour la puissance. Parce qu e nous avons besoins d’outils puissants pour gérer nos vies, pour influer sur le monde autour de nous. Les mots sont nos premierles concepts discrets sont nos premiers outils. Sans eux, impossible de cern comment cerner un cevenement et y réagir ?
qui possède les mots les plus puissants dé voit plus clairement comment agir sur le monde.La guerre des mots.
il existent certains concept qui,, certaines parties du monde qui se découpent comme un poulet, avec des articulations prédestinées, ou il est naturel de trancher. Mais dans d’autres parti, la chair de l’uni”rs est lisse , et c’est à nous de choisir comment la découper, en, en fonction de ce qui nous arrange.
Fusionner cette udées avec les fillz. et langues familiales.
Cela prendra alors tout son sens dans les empires nord et sur d, dans lesquels je derais donc bien davantage centré l’action.
Je pourrais reprendre le tgeme de l’esclave qui s’élève, que l’on éduqude , et qui dépsse ses maitres. FMAB.
prenons l’exemple des racine sde la plante. On pense habituellement qu’il y a la rcine est distincte de la terre. TOutetefois cette racine est composé en très grande majorité ded’eau, qu’ellle a prélevé dans l terre. Et la trre alentours, en plus est très différentes : riche en micro organismes, appauvries en métaux utiles car ils ont été drainé vers la tige, et pourtant riche en un colloïde que la plante relache pour attirer l’eau… Nous distinguons lar racine par rapport à l’action d’arracher la pknates, qui change le la donne. Nous classifions la raalité en fonction des réactions à nos actions !!!!!!! cela pourra s’appliquer aux racines !!!